Amoureuse d'un homme séparé mais qui reste pour l'enfant.
Bonjour à tous,
Merci tout d'abord de prendre le temps de me lire. J'aimerai beaucoup connaître vos avis, vos conseils pour surmonter cette épreuve.
Tout a commencé lors d'un entretien d'embauche, entretien plein d'émotions, de papillons dans le ventre des deux côtés. J'ai eu le poste et j'ai commencé 15 jours plus tard.
Il y avait quelque chose entre nous, des regards complices, une belle façon de travailler ensemble. S'en suis des petits messages pour le boulot, puis plus pour le boulot, puis des envies de s'écrire, des émotions, jusqu'à la déclaration mutuelle : 'il y a vraiment un petit truc entre nous'. Tout paraît très beau jusqu'ici, mais il est en couple avec une femme, un enfant à elle et une petite fille ensemble.
On a décidé d'en discuter de vive voix, il était clair qu'il n'était pas heureux, qu'il n'avait pas de complicité avec sa femme actuelle, qu'il a fait un enfant par nécessité car il était plutôt âgé et qu'il faut bien se résigner d'être père un jour, elle ne voulait pas plus que ça, mais elle lui a fait cet enfant.
Je ne savais pas ce qui découlerait de ce baiser.
On a commencé alors à avoir une relation, une belle relation ... mais cachée. Les midis ensemble à parler, rire, manger et tout autre activités de 'couple'. On restait le soir plus longtemps pour discuter ensemble. C'était évident, pour lui comme pour moi, nous tombions amoureux, c'était une évidence, c'était le destin.
La relation a duré pendant 6 mois, des hauts et des bas. il s'est dépacsé de son ex compagne, il a commencé à faire les visites, ils ont discuté de la garde. Il était préoccupait car toute sa vie allait changer, mais il savait que c'était le bon choix. Il me disait que ça ne peut plus continuer, malheureux sur son canapé, à n'avoir aucun autre soutient que nos messages. Plus aucune interaction avec son ex compagne , ils se sont rendu compte qu'ils n'avaient jamais vraiment été un couple.
On se voyait également avec sa fille le samedi matin dans un magasin, dans un parc ou chez moi. Tout se passait bien, nous étions ses amours.
Une visite avait débouché sur un vrai coup de coeur (visite qu'il a entrepris seulà Depuis début novembre nous avions la date de l'appartement : 15 novembre. Comme je disais il commençait à se rendre compte de son changement de vie, il était perturbé mais réclamait mon soutient, nous avions une réelle communication ensemble.
J'aimerai dire quelques mots sur ce monsieur X : il a perdu son père et son frère de maladie, il a dû prendre sur lui et protéger sa maman. Il a accumulé les relation de 3/4 ans depuis ses 17 ans, il partait car la relation ne lui convenait plus. Avec son ex-compagne ça faisait 4 ans et une fille d'un an.
Pendant 6 mois, nous avions évolué dans notre relation, nous commencions à parler de projet de voyage, de repas en famille, de Noël ensemble. C'était une évidence notre histoire d'Amour. J'étais l'Amour de sa vie, la seule femme qu'il n'a jamais aimé auparavant. Notre avenir ensemble était indéniable et nous rendrait heureux.
Pour revenir à l'appartement, nous avons signé l'appartement le vendredi. Cependant son ancienne compagne lui a fait une crise "je vais me suicider".
Il était heureux, prêt et décidé de charger ses affaires le samedi 16 novembre. On en a encore parlé la veille, comment on s'organiserait ; Il ramènerait ses affaires samedi dans l'appartement et passerait la soirée et dimanche avec moi chez moi. ça lui laisserait le temps de s'installer doucement puis je viendrais au fur et à mesure. La garde était convenu.
Samedi matin, petit message d'amour de soutient, il me dit "je m'habille et j'attaque *bisou coeur*." Je lui écris à 14h pour savoir comment il allait il me réponds : "j'ai fais un malaise je suis chez le médecin, ma maman n'est pas bien, je ne suis plus sûre de vouloir partir". Je lui demande de venir pour qu'on en discute. Ce qui en est sortis c'est qu'il est persuadé que sa fille sera malheureuse sans lui alors il ne peut pas partir. Il préfère être malheureux, séparé, dans son ancienne maison, sur un canapé, plutôt que de risquer d'être heureux dans une vie qui le convient mais en risquant que sa fille soit triste. Je lui explique que dans tous changement il a des repères rompu, de nouveau repères à installés et qu'il ne sera jamais loin de sa fille puisque l'appartement est à 1 km. Qu'il y aura toujours des solutions. Il était en panique, il est resté en panique "je peux pas abandonner ma fille, je ne peux pas partir sans être sûre que tout se passera bien".
J'ai été suffisamment patiente et compréhensive pendant 6 mois, j'ai accepté de mettre ma vie de côté, d'attendre et de comprendre qu'il ne m'écrive pas souvent, qu'il me cache et surtout (le plus dur) d'être seule chez moi en étant mise de côté. Mais j'ai dis que c'était trop, que ça devait cesser. Il me disait que les clefs de l'appartement était les clefs de sa libération et de son bonheur. Il panique, chose que je comprends. Je comprends qu'un enfant est une priorité dans une vie, qu'on veut le meilleur pour eux. Mais est-ce que c'est bon de rester avec une ambiance tendue, une vie de famille détruite, un couple de parent qui se reproche même de respirer et de manger ? Il est perdu. Je lui ai demandé de choisir entre deux chemins, puisque je ne voulais plus faire partis de l'équation où il continuait de rester dans son ancienne maison.
Il dit avoir besoin d'une aide psychologique (rdv mardi 19 novembre).
Je lui ai demandé de ne plus m'écrire.
Il est partis triste, en disant qu'il le regrette déjà, en disant désolé.... et il a claqué la porte.
Mais au fond de moi j'espère qu'il revienne, qu'il calme ses peurs et qu'il se décide d'avancer dans notre histoire. Il ne m'a plus écrit depuis qu'il est partis. Et ce matin il a annoncé à l'équipe par mail qu'il serait absent jusqu'à mercredi.
Je ne sais pas quoi faire, quoi penser et comment appréhender la suite.
Il est clair que je ne souhaite plus être la "seconde femme", la femme mise de côté, la femme qu'on fait espérer. Mais je l'aime tellement ....
Merci par avance de votre aide.
Eléna
Merci tout d'abord de prendre le temps de me lire. J'aimerai beaucoup connaître vos avis, vos conseils pour surmonter cette épreuve.
Tout a commencé lors d'un entretien d'embauche, entretien plein d'émotions, de papillons dans le ventre des deux côtés. J'ai eu le poste et j'ai commencé 15 jours plus tard.
Il y avait quelque chose entre nous, des regards complices, une belle façon de travailler ensemble. S'en suis des petits messages pour le boulot, puis plus pour le boulot, puis des envies de s'écrire, des émotions, jusqu'à la déclaration mutuelle : 'il y a vraiment un petit truc entre nous'. Tout paraît très beau jusqu'ici, mais il est en couple avec une femme, un enfant à elle et une petite fille ensemble.
On a décidé d'en discuter de vive voix, il était clair qu'il n'était pas heureux, qu'il n'avait pas de complicité avec sa femme actuelle, qu'il a fait un enfant par nécessité car il était plutôt âgé et qu'il faut bien se résigner d'être père un jour, elle ne voulait pas plus que ça, mais elle lui a fait cet enfant.
Je ne savais pas ce qui découlerait de ce baiser.
On a commencé alors à avoir une relation, une belle relation ... mais cachée. Les midis ensemble à parler, rire, manger et tout autre activités de 'couple'. On restait le soir plus longtemps pour discuter ensemble. C'était évident, pour lui comme pour moi, nous tombions amoureux, c'était une évidence, c'était le destin.
La relation a duré pendant 6 mois, des hauts et des bas. il s'est dépacsé de son ex compagne, il a commencé à faire les visites, ils ont discuté de la garde. Il était préoccupait car toute sa vie allait changer, mais il savait que c'était le bon choix. Il me disait que ça ne peut plus continuer, malheureux sur son canapé, à n'avoir aucun autre soutient que nos messages. Plus aucune interaction avec son ex compagne , ils se sont rendu compte qu'ils n'avaient jamais vraiment été un couple.
On se voyait également avec sa fille le samedi matin dans un magasin, dans un parc ou chez moi. Tout se passait bien, nous étions ses amours.
Une visite avait débouché sur un vrai coup de coeur (visite qu'il a entrepris seulà Depuis début novembre nous avions la date de l'appartement : 15 novembre. Comme je disais il commençait à se rendre compte de son changement de vie, il était perturbé mais réclamait mon soutient, nous avions une réelle communication ensemble.
J'aimerai dire quelques mots sur ce monsieur X : il a perdu son père et son frère de maladie, il a dû prendre sur lui et protéger sa maman. Il a accumulé les relation de 3/4 ans depuis ses 17 ans, il partait car la relation ne lui convenait plus. Avec son ex-compagne ça faisait 4 ans et une fille d'un an.
Pendant 6 mois, nous avions évolué dans notre relation, nous commencions à parler de projet de voyage, de repas en famille, de Noël ensemble. C'était une évidence notre histoire d'Amour. J'étais l'Amour de sa vie, la seule femme qu'il n'a jamais aimé auparavant. Notre avenir ensemble était indéniable et nous rendrait heureux.
Pour revenir à l'appartement, nous avons signé l'appartement le vendredi. Cependant son ancienne compagne lui a fait une crise "je vais me suicider".
Il était heureux, prêt et décidé de charger ses affaires le samedi 16 novembre. On en a encore parlé la veille, comment on s'organiserait ; Il ramènerait ses affaires samedi dans l'appartement et passerait la soirée et dimanche avec moi chez moi. ça lui laisserait le temps de s'installer doucement puis je viendrais au fur et à mesure. La garde était convenu.
Samedi matin, petit message d'amour de soutient, il me dit "je m'habille et j'attaque *bisou coeur*." Je lui écris à 14h pour savoir comment il allait il me réponds : "j'ai fais un malaise je suis chez le médecin, ma maman n'est pas bien, je ne suis plus sûre de vouloir partir". Je lui demande de venir pour qu'on en discute. Ce qui en est sortis c'est qu'il est persuadé que sa fille sera malheureuse sans lui alors il ne peut pas partir. Il préfère être malheureux, séparé, dans son ancienne maison, sur un canapé, plutôt que de risquer d'être heureux dans une vie qui le convient mais en risquant que sa fille soit triste. Je lui explique que dans tous changement il a des repères rompu, de nouveau repères à installés et qu'il ne sera jamais loin de sa fille puisque l'appartement est à 1 km. Qu'il y aura toujours des solutions. Il était en panique, il est resté en panique "je peux pas abandonner ma fille, je ne peux pas partir sans être sûre que tout se passera bien".
J'ai été suffisamment patiente et compréhensive pendant 6 mois, j'ai accepté de mettre ma vie de côté, d'attendre et de comprendre qu'il ne m'écrive pas souvent, qu'il me cache et surtout (le plus dur) d'être seule chez moi en étant mise de côté. Mais j'ai dis que c'était trop, que ça devait cesser. Il me disait que les clefs de l'appartement était les clefs de sa libération et de son bonheur. Il panique, chose que je comprends. Je comprends qu'un enfant est une priorité dans une vie, qu'on veut le meilleur pour eux. Mais est-ce que c'est bon de rester avec une ambiance tendue, une vie de famille détruite, un couple de parent qui se reproche même de respirer et de manger ? Il est perdu. Je lui ai demandé de choisir entre deux chemins, puisque je ne voulais plus faire partis de l'équation où il continuait de rester dans son ancienne maison.
Il dit avoir besoin d'une aide psychologique (rdv mardi 19 novembre).
Je lui ai demandé de ne plus m'écrire.
Il est partis triste, en disant qu'il le regrette déjà, en disant désolé.... et il a claqué la porte.
Mais au fond de moi j'espère qu'il revienne, qu'il calme ses peurs et qu'il se décide d'avancer dans notre histoire. Il ne m'a plus écrit depuis qu'il est partis. Et ce matin il a annoncé à l'équipe par mail qu'il serait absent jusqu'à mercredi.
Je ne sais pas quoi faire, quoi penser et comment appréhender la suite.
Il est clair que je ne souhaite plus être la "seconde femme", la femme mise de côté, la femme qu'on fait espérer. Mais je l'aime tellement ....
Merci par avance de votre aide.
Eléna
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