Comme un puzzle...
Qu'il serait bon de trouver sa place ! N'avoir aucun doute. Se dire : oui, c'est là que je m'emboîte facilement. Qu'importe si le chemin est long, dur, mais je suis fait ( faite ) pour ça, je n'ai plus qu'à me laisser porter, avoir le courage d'avancer, de résoudre les difficultés, je n'ai pas à douter, à me demander si ma place est bien là... 
Pour certains, c'est épouser James et pas Michael. Pour d'autres, c'est tout plaquer pour aller élever des chèvres dans le Vercors. Ou s'engager à fond dans l'étude de la Torah.
Parfois c'est difficile, parce que des indices trompeurs nous attirent vers telle chose ( on est amoureux mais d'une personne qui ne nous mérite pas, qui s'en fout ) et tout nous semble nous porter, sauf que les désillusions sont amères. On rêve de devenir ceci ou cela, alors que d'autres, depuis des années, ne rêvent pas, mais y travaillent avec acharnement. L'envie ne suffit pas, le désir, si fort soit-il, ne saurait suffire. Parfois, on a envie de sauter, on a des atouts, de bonnes guibolles, mais des handicaps, des poids restés ancrés de l'autre côté, qui nous retiennent... Moi j'étais super doué pour composer, pas tellement pour jouer, résultat, j'ai perdu beaucoup de temps avec la musique, à essayer de rassembler, fédérer, car le modèle que j'avais en tête était celui du groupe, du band. Et ça n'était sans doute pas ça qui me correspondait.
Trouver ce pour quoi on est fait. Trouver le fonctionnement optimum, qui dégage le plus possible une bonne adéquation entre notre tâche, les résulats qu'on y obtient, et le plaisir qu'on a à la mener à bien. En termes de potentiels personnels, donc en termes de connaissance de soi, de ses atouts, de ses points forts. Et non pas en se laissant embarquer par ses envies, ses fantasmes. Savoir tirer le meilleur de soi, pouvoir se dire ensuite : je suis à la meilleure place pour moi, je fais ce que je peux offrir de mieux.
Pas évident, hein ?
Ubik.
Pour certains, c'est épouser James et pas Michael. Pour d'autres, c'est tout plaquer pour aller élever des chèvres dans le Vercors. Ou s'engager à fond dans l'étude de la Torah.
Parfois c'est difficile, parce que des indices trompeurs nous attirent vers telle chose ( on est amoureux mais d'une personne qui ne nous mérite pas, qui s'en fout ) et tout nous semble nous porter, sauf que les désillusions sont amères. On rêve de devenir ceci ou cela, alors que d'autres, depuis des années, ne rêvent pas, mais y travaillent avec acharnement. L'envie ne suffit pas, le désir, si fort soit-il, ne saurait suffire. Parfois, on a envie de sauter, on a des atouts, de bonnes guibolles, mais des handicaps, des poids restés ancrés de l'autre côté, qui nous retiennent... Moi j'étais super doué pour composer, pas tellement pour jouer, résultat, j'ai perdu beaucoup de temps avec la musique, à essayer de rassembler, fédérer, car le modèle que j'avais en tête était celui du groupe, du band. Et ça n'était sans doute pas ça qui me correspondait.
Trouver ce pour quoi on est fait. Trouver le fonctionnement optimum, qui dégage le plus possible une bonne adéquation entre notre tâche, les résulats qu'on y obtient, et le plaisir qu'on a à la mener à bien. En termes de potentiels personnels, donc en termes de connaissance de soi, de ses atouts, de ses points forts. Et non pas en se laissant embarquer par ses envies, ses fantasmes. Savoir tirer le meilleur de soi, pouvoir se dire ensuite : je suis à la meilleure place pour moi, je fais ce que je peux offrir de mieux.
Pas évident, hein ?
Ubik.
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