DHMO aider à lutter contr la première cause de mortalité dans le monde

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le 01/04/2010


Le monoxyde de dihydrogène (en anglais «Dihydrogen Monoxide» - DHMO) est un composé chimique incolore et inodore, également dénommé par certains oxyde de dihydrogène, hydroxyde d'hydrogène, hydroxyde d'hydronium, ou simplement acide hydrique. Son constituant de base est le radical instable hydroxyl, qu'on retrouve dans de nombreux composés caustiques, explosifs et toxiques tels que l'acide sulfurique, la nitroglycérine et l'alcool éthylique.
Pour une information plus détaillée, comprenant des indications sur les précautions à prendre, les règles d'emploi et de stockage, veuillez vous reporter à la Material Safety Data Sheet (MSDS) (en anglais) sur le monoxyde de dihydrogène.

Dois-je me sentir concerné par le monoxyde de dihydrogène?
Oui, vous devez l'être! Bien que le gouvernement des États-Unis et les «Centers for Disease Control» (CDC) n'imposent pas de restrictions sur le monoxyde de dihydrogène (alors qu'ils en ont imposées à des substances plus familières telles que l'acide chlorhydrique et la saccharine), le monoxyde de dihydrogène est un constituant de substances toxiques, d'agents provoquant ou favorisant des maladies et de menaces pour l'environnement aussi nombreux que connus, et peut même être léthal à un être humain à des doses aussi faibles que quelques gouttes.

Des recherches entreprises par un scientifique américain renommé, Nathan Zohner, ont conclu qu'environ 86 pour cent de la population des États-Unis est favorable à une interdiction du monoxyde de dihydrogène. Bien que ses résultats soient préliminaires, Zohner pense que la population doit accorder plus d'attention aux informations qui lui sont données concernant le monoxyde de dihydrogène. Il ajoute que si davantage de personnes connaissait la vérité sur le monoxyde de dihydrogène, des études telles que celle qu'il a menée ne seraient pas nécessaires.

Une enquête similaire dirigée par les chercheurs américains Patrick K. McCluskey et Matthew Kulick ont également découvert que près de 90 pour cent des sujets interrogés étaient prêts à signer une pétition en faveur d'une interdiction complète de l'usage du monoxyde de dihydrogène aux États-Unis.

http://www.dhmo.org/translations/french/facts.html

Je souligne que DHMO est responsable non pas de milliers de morts mais de millions de part le monde et qu'une faible comme une grande quantité peut tuer ou provoquer des séquelles grâves voir irréversibles !
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