Une fête, de chair et d'âme
"On peut découvrir en soi, et autour de soi, les moyens qui permettent  de revi à la vie et d'aler de l'avant tout en gardant la mémoire de sa blessure.
 
Les chemins de vie se situent sur une crête étroite, entre toutes les formes de vulnérabilité.
 
Etre invulnénarable voudrait dire impossible à blesser. La seule protection consite à éviter les chocs qui détruisent autant qu'à éviter de trop s'en protéger. Chaque âge possède sa force et sa faiblesse et les moments non blessés de l'existence s'expliquent par notre capacité à maîtriser, voire à surmonter, ce qui,en nous, relève, dans un constan remaniement, du biologique, de l'affectif et de l'enironnement social et culturel.
 
Le bonheur n'est jamais pur. Pourquoi faut-il que, si souvent, une bouffée de bonheur provoque l'angoisse de le perdre ? Sans souffrance, pourrait-on aimer ? Sans angoise et sans perte affective, aurait-on besoin de sécurité ? Le monde serait fade et nous n'aurions peut-être * pas pas (ou plus) le goût d' y vivre. "
B. C.
 
4ème de couverture d'un livre fondant une nouvelle biologie de l'attachement, commente l'éditeur, ajoutant ceci :
 
Il (B.C.) explique pourquoi, pour chacun d'entre nous, la vie est une conquête permanente, jamais fixée d'avance (bonjour demain ;-). Ni nos gènes, ni notre milieu d'origine ne nous interdisent d'évoluer. Tout reste . Un messge d'espoir, plein de tendresse et d'humanité.
  
* peut-être, il faudrait que cela soit expérimenté sur une lonque période mais vrai la période commence à me sembler un rien longue mon cher Boris !
J'en profite au passage pour te souhaiter une très bonne fête sous ces cieux toulonnais où tu as "grandi" et où tu veux bien encore exercer l'une de tes multiples activités à l'université de cette prestigieuse et néanmoins reconnue ville de Toulon.
Reformulation : que vous inspire ces deux assertions et ces trois interrogations.
 
Le bonheur n'est jamais pur. Pourquoi faut-il que, si souvent, une bouffée de bonheur provoque l'angoisse de le perdre ? Sans souffrance, pourrait-on aimer ? Sans angoise et sans perte affective, aurait-on besoin de sécurité ? Le monde serait fade et nous n'aurions peut-être pas le goût d' y vivre.
 
Merci de votre attention
Les chemins de vie se situent sur une crête étroite, entre toutes les formes de vulnérabilité.
Etre invulnénarable voudrait dire impossible à blesser. La seule protection consite à éviter les chocs qui détruisent autant qu'à éviter de trop s'en protéger. Chaque âge possède sa force et sa faiblesse et les moments non blessés de l'existence s'expliquent par notre capacité à maîtriser, voire à surmonter, ce qui,en nous, relève, dans un constan remaniement, du biologique, de l'affectif et de l'enironnement social et culturel.
Le bonheur n'est jamais pur. Pourquoi faut-il que, si souvent, une bouffée de bonheur provoque l'angoisse de le perdre ? Sans souffrance, pourrait-on aimer ? Sans angoise et sans perte affective, aurait-on besoin de sécurité ? Le monde serait fade et nous n'aurions peut-être * pas pas (ou plus) le goût d' y vivre. "
B. C.
4ème de couverture d'un livre fondant une nouvelle biologie de l'attachement, commente l'éditeur, ajoutant ceci :
Il (B.C.) explique pourquoi, pour chacun d'entre nous, la vie est une conquête permanente, jamais fixée d'avance (bonjour demain ;-). Ni nos gènes, ni notre milieu d'origine ne nous interdisent d'évoluer. Tout reste . Un messge d'espoir, plein de tendresse et d'humanité.
* peut-être, il faudrait que cela soit expérimenté sur une lonque période mais vrai la période commence à me sembler un rien longue mon cher Boris !
J'en profite au passage pour te souhaiter une très bonne fête sous ces cieux toulonnais où tu as "grandi" et où tu veux bien encore exercer l'une de tes multiples activités à l'université de cette prestigieuse et néanmoins reconnue ville de Toulon.
Reformulation : que vous inspire ces deux assertions et ces trois interrogations.
Le bonheur n'est jamais pur. Pourquoi faut-il que, si souvent, une bouffée de bonheur provoque l'angoisse de le perdre ? Sans souffrance, pourrait-on aimer ? Sans angoise et sans perte affective, aurait-on besoin de sécurité ? Le monde serait fade et nous n'aurions peut-être pas le goût d' y vivre.
Merci de votre attention
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